Sens au travail : les plus belles phrases - Umanz

Sens au travail : les plus belles phrases

Le sens a t-il déserté le travail ? Le problème ne date pas d’hier. 

Avant nous, de grands noms se sont interrogés sur cet introuvable sens au travail.

Voici ce qu’ils en disent :


“Mais l’homme qui possède des dons brillants ne peut se satisfaire longtemps de les exercer sur un objet médiocre.”

Marcel Aymé, Le passe-muraille


“Au lieu de vous demander quand seront vos prochaines vacances, peut-être que vous devriez construire une vie dans laquelle vous n’avez pas besoin de vous échapper.” 

Seth Godin


« Un boulot à la con est un boulot si inutile, absurde, voire néfaste, que même le salarié ne peut en justifier l’existence, bien que le contrat avec son employeur l’oblige à prétendre qu’il existe une utilité à son travail. »

David Graeber, Bullshit Jobs


« La plupart des entreprises prolongent cette éducation en récompensant les personnes les plus expertes à défendre leur point de vue, plutôt qu’à soulever des problèmes complexes. »

Peter Senge


‘N’oubliez jamais qu’il y a les jobs que vous pouvez avoir et les jobs que vous pouvez inventer’

Maria Popova


“Les gens passent leur vie à gravir l’échelle du succès pour se rendre compte qu’elle est adossée au mauvais mur.”

 Thomas Merton


«Les gens utilisaient une sorte de novlangue, qui n’était ni belle ni particulièrement efficace: un mélange de discours corporate avec des métaphores athlétiques et guerrières, gonflées d’auto-importance. “

“Que faisait Megan? La plupart du temps, elle organisait des réunions, ou des «sync», comme elle les appelait. Le pire type de réunion – le genre où les participants tournent autour du concept de travail sans se plonger dedans. Les sync de Megan étaient remplies de discussions sur les cadences et la connectivité et la mise à niveau ainsi que sur la nécessité d’affiner et d’itérer pour aller de l’avant. La principale unité de sens était la métaphore abstraite. Je pense que personne ne savait ce que chacun disait”

Molly Young, Vulture 


“Il m’est venu un jour à l’idée que si l’on voulait réduire un homme à néant, le punir atrocement, l’écraser tellement que le meurtrier le plus endurci tremblerait lui-même devant ce châtiment et s’effrayerait d’avance, il suffirait de donner à son travail un caractère de complète inutilité, voire même d’absurdité.”

Fiodor Dostoiëvsky