L’Ikigai est un terme Japonais qui signifie selon les cas “raison d’être” et dans sa définition plus légère, joie de vivre.
L’expression viendrait de l’île d’Okinawa déjà célèbre pour la longévité de ses habitants et son régime alimentaire légendaire.
En bref, l’Ikigai est ce qui fait lever les habitants d’Okinawa tous les matins.
Christie Vanbremeersch, coach en créativité consacre un livre récent à l’Ikigai et avoue honnêtement ne pas avoir trouvé le sien. Elle propose en revanche une démarche pour le découvrir.
A l’aide d’une méthodologie adaptée aux occidentaux, de questions éclairantes et d’interviews de personnes ayant réellement trouvé leur Ikigai, elle détaille comment atteindre, effleurer ou approcher ce point parfait, aspirationnel, entre votre passion, votre but dans la vie et votre savoir faire.
La recherche d’une vie
Mais l’Ikigai est aussi une discipline et une quête, les Japonais expliquent volontier que la recherche de l’ikigai est un processus continu et évolutif.
La quête de l’ikigai pose aussi, à un niveau très personnel, les questions de la réussite de l’argent, de la peur et de l’échec. Et, au delà de l’introspection, elle interpelle sur les bullshit jobs ultra-processisés sans saveur et l’éloignement dévitalisant des “zones de brillance” des individus…
Le but ultime, la quête vertigineuse et souvent infructueuse : trouver l’ikigai qui nous permettra de nous dire chaque jour : “Je n’en reviens pas d’être payé pour faire ce que je fais ! ”