Whole Body Yes : une décision alignée
La pensée peut être physique et chaque personne a une signature profonde de ce qu’est réellement un Oui ou un Non…Le « whole body yes » – “le oui intégral du corps” se produit selon Diana Chapman lorsque les trois intelligences : IQ, EQ (quotient émotionnel) BQ (quotient corporel) ou intelligence physique se réunissent dans la même direction. Un alignement qu’elle a nommé le whole body yes. Ou « le grand oui du corps ».
À chaque fois qu’elle doit prendre une décision elle prend l’avis de ses trois intelligences. “Si je n’ai pas un oui corporel total, c’est non !” ajoute Diana Chapman.
« Compressed learning » les avantages inattendus de l’apprentissage comprimé
Au Brésil, il existe une culture du jeu qui consiste à jouer une version « miniature » du football, dans un espace beaucoup plus réduit et avec moins de joueurs.
Lorsque les joueurs jouent à ce jeu, ils pratiquent les gestes du foot, mais avec un effet d’accélération grâce à des contacts multipliés avec le ballon.
Au bout du compte, un joueur adulte brésilien finit par avoir eu beaucoup plus de contacts avec le ballon qu’un joueur qui serait passé par les systèmes classiques d’entraînement.
Êtes vous un/une Tetrachromate ?
La Tetrachromatie serait une singularité génétique permettant de voir, comme les abeilles, des couleurs invisibles aux yeux des autres personnes. Les Tetrachromates, en majorité des femmes sont capables de distinguer avec certitude des spectres et des variation infimes de couleurs.
Un tetrachromate est un hypersensible de la couleur. Il peut voir que deux vêtements verts ne sont absolument pas assortis et se sent souvent agressé par le chaos de couleurs dans les rayons de supermarché.
Concetta Antico est une artiste Tetrachromate et tente de retranscrire les symphonies de couleurs qu’elle a la chance de voir à l’oeil nu dans ses propres toiles.
Selon une étude menée en 2010 : 12% des femmes pourraient être Tetrachromates.
Actuellement il n’existe pas de test en ligne pour mesurer réellement la Tetrachromatie car “les écrans d’ordinateur n’arrivent pas à retransmettre les nuances de couleurs supplémentaires du spectre que les tétrachromates possèdent.”
Comment la double-contrainte de Bateson explique la Silicon Valley
La double-contrainte de Gregory Bateson est un concept qui explique et les paradoxes inhérents des communications ambiguës et leurs effets. Certains messages contiennent parfois deux messages contradictoires de type “Fais un effort pour être plus spontané !”, “Sois autonome” source de confusion mentale.
En quoi la théorie de Bateson s’applique t-elle à la Silicon Valley :
“Moi VC je ne te financerai que si tu as un produit unique…mais seulement Si Sequoia ou A16Z te suivent aussi…De plus si une startup émerge et crée le même produit que toi cela aiderait car cela validerait ton idée…”
Et c’est ainsi que les bulles se développent d’une façon mimétique et de plus en plus prédictible : les .com qui se ressemblent, les Apps indifférenciées, les Cryptos indéchiffrables et en ce moment, des milliers de startups AI etc. Mais quand la bulle éclate, tout le monde perd.
Un miracle par mois
Et si les miracles n’étaient qu’une simple question de math. C’est ce que tente d’expliquer Freeman Dyson avec sa loi de la banalité des miracles :
« Au cours de la vie d’une personne normale, les miracles se produisent au rythme d’environ un par mois.
La preuve de cette loi est simple. Pendant le temps où nous sommes éveillés et activement engagés dans notre vie, soit environ huit heures par jour, nous voyons et entendons des choses qui se produisent à raison d’une par seconde. Le nombre total d’événements qui nous arrivent est donc d’environ 30 000 par jour, soit environ un million par mois.
À quelques exceptions près, ces événements ne sont pas des miracles car ils sont insignifiants. La probabilité d’un miracle est d’environ un par million d’événements.
Nous devons donc nous attendre à ce qu’un miracle se produise, en moyenne, chaque mois.
Le test de Vija ?
Aimes- tu ton travail ? Et à quel point ?
Peux-tu lui appliquer le test de l’artiste Vija Cemins : “Je déteste arrêter de travailler sur quelque chose…. avez-vous des problèmes à abandonner votre travail, ou pas ?”
La réticence à abandonner un travail est souvent le test ultime du bonheur au travail.
Umarell
On a tous vu un jour un retraité, les mains croisées derrière le dos observer un chantier de construction d’un air pénétré.
Sachez qu’on les designe sous le nom d’Umarell, un terme qui semble-t-il proviendrait du patois Bolognais. Où l’expression Umarèl signifiant littéralement petit bonhomme.
Les Umarells les plus insistants passeraient même leurs temps à donner des instructions aux ouvriers des chantiers.
La pratique est tellement répandue que la ville de Riccone aurait dégagé un budget de 11.000 Euros pour faire surveiller ses chantiers par des Umarells en 2015. Tandis que Bologne a baptisé un square en leur honneur : Piazzetta degli Umarells.