Oui, j’ai besoin de toi, mon conte de fées. Car tu es la seule personne avec laquelle je puisse parler de la nuance d’un nuage, du chant d’une pensée, la seule à qui je peux dire qu’aujourd’hui, en partant travailler, j’ai regardé en face un grand tournesol et il m’a souri de toutes ses graines. »
Lettre de Nabokov à sa femme Vera