Les flatteries du travail sans beauté - Umanz

Les flatteries du travail sans beauté

« Force est donc de constater que la société industrielle d’aujourd’hui présente partout la caractéristique perverse de flatter sans cesse la cupidité, l’envie et l’avarice ; […] mécanique, artificielle, ayant divorcé d’avec la nature, elle condamne l’immense majorité des travailleurs à passer leur vie de travail en n’utilisant qu’une part infime de leurs capacités, sans rencontrer jamais le moindre stimulant au perfectionnement, la moindre chance de progrès, une once de Beauté, de Vérité ou de Bonté. »  

 Ernst Friedrich Schumacher, Good Work